Gouache, aquarelle, pastels, crayon de couleur, encre, feutre sur papier.

Installation originale composée de 12 œuvres sur papier naturel 250 gr.

Format de l’ensemble : 118 cm x 126 cm

 Cette œuvre explore la relation profonde, presque mystique qui lie l’humain à la nature.

Entre abstraction et figuration, des formes fragmentées apparaissent sur 12 feuilles de papier suspendues dans le temps, entre deux mondes, celui du vivant et celui du retour à la matière.

Le tout forme un motif sans fin où l’homme n’est pas au centre mais une boucle dans un cycle, tissée dans la même matrice. L’humain, loin d’être à part, est une expression éphémère de la nature, appelée à s’y fondre à nouveau.

C’est l’image d’un passage : celui de la chair vers l’humus, de l’individu vers le collectif organique. L’œuvre ne parle pas de fin, mais de transformation.

Ce qui meurt nourrit autre chose. L’œuvre non fixée aux multiples textures est suspendue dans l’espace formant ainsi un assemblage mouvant rappelant la fragilité de notre équilibre précaire.